FORUM GAUCHE ECOLOGIE du pays des Herbiers

Bilan politique de notre action 03 10 2006

FORUM Gauche Ecologie

Assemblée générale du 3 octobre 2006

BILAN POLITIQUE

de notre action au Conseil municipal et à la Communauté de communes.

(En noir, les 4 années précédentes et en rouge, l'année écoulée)

 

Nous proposons un bilan de notre action autour de 10 valeurs politiques qui constituent les lignes forces de Forum depuis sa création :

1 – La démocratie locale

2 – La solidarité

3 – La défense de l'environnement

4 – La maîtrise de la gestion publique

5 – L'opposition au "système de Villiers"

6 – L'épanouissement des personnes

7 – L'emploi

8 – Une agriculture « durable »

9 – Le développement de l'intercommunalité

10 – Une gestion saine

Journal d'avril 2006 : A nos yeux, le premier objectif qui s'impose aujourd'hui, c'est faire en sorte que Les Herbiers devienne une vraie ville avec les services qui conviennent : transports en commun, médiathèque, maisons de quartier, centre ville accueillant, logements sociaux, etc.

 

LA DEMOCRATIE PARTICIPATIVE

C'est la responsabilisation de nos concitoyens à la gestion de la vie publique.

à Le Pays.

Le conseil de développement doit permettre l'expression et la formation de toutes les forces vives du pays, au travers essentiellement des associations.

A de nombreuses occasions, nous avons été amenés à défendre la loi Voynet sur le pays en demandant la mise en place du conseil de développement lors de commissions municipales, conseils, articles du journal municipal, présentation de la loi au conseil des Sages.

Demande de transparence dans l'avancée du projet (maires et conseillers généraux).

Idem en 2004/2005 et interpellation de la Ville de La Roche, de la Région et des Verts 85.

2005 : Intervention au Conseil de Communauté de communes le 16 novembre 2005 lors du vote de la charte et du périmètre de territoire. Défense de la loi mais abstention parce que le Conseil de développement a été constitué par le Conseil général et parce qu'il est entièrement contrôlé par lui en totale contradiction avec la loi.

à Les commissions consultatives des usagers des services publics.

Elles ont été créées il y a 2 ans suite à notre demande, mais la loi les rendait théoriquement obligatoires pour les villes et les communautés de communes de plus de 3500 habitants. Cependant la commission déchet n'a pas été réunie depuis très longtemps et la commission piscine n'est pas souvent réunie malgré notre insistance au Conseil de la Coco.

Le Conseil municipal a constitué une commission sur l'assainissement en 2004, là également sur notre insistance. (Voir notre position sur le contenu dans la partie Environnement)

à Le P.L.U.

Malgré nos interventions en commission et lors des réunions publiques, il n'y a que de l'information descendante. Pas de réelle consultation de la population.

(Voir notre position sur le contenu dans la partie Environnement)

à Les conseils de quartier.

Nous en avons fait la demande à l'occasion des problèmes de gestion des déchets et notamment des Moloks. Demandes réitérées en 2005 en commission Environnement de la Coco.

à Statut de l'élu.

Suggestion de donner une petite indemnité aux conseillers municipaux plutôt qu'une augmentation de 35 % de celle du président de la Coco et des 7 vice-présidents.

à Les associations.

Demande de salles gratuites pour les petites associations.

à Conseil des Sages et Conseil municipal des enfants.

Soutien évidemment, après les avoir fortement réclamés. 2006 : Proposition que le Conseil des Sages travaille sur les noms de rue, ainsi que sur la mise en place de jardins ouvriers.

En conclusion, la question de la démocratie participative est un point où nous nous démarquons très nettement de la politique d'Albert, or c'est le point fondateur de notre engagement politique.

 

LA SOLIDARITE

à Les personnes handicapées.

Opposition au projet de maison de retraite pour handicapés au Boitissandeau , par rapport à l'idéologie du promoteur, au coût, à l'inadaptation des locaux et à l'éloignement de la ville.

Demande de faciliter l'accessibilité au centre ville pour les personnes handicapées, etc.

2006 : La Ville des Herbiers paye 1500 euros en 2006 car elle n'aurait que 4 % de TH ; nous avons fait une déclaration au conseil du 25 septembre 2006 pour qu'elle honore ses obligations en la matière (6 %) et qu'elle joue là aussi (voir plus bas) son rôle d'insertion.

à Les personnes ayant de faibles revenus et les jeunes.

Opposition à l'extension de la piscine. Option grand standing qui va encore faire grimper les coûts d'entrée et exclure les personnes aux revenus modestes, notamment les jeunes.

Interventions sur ce sujet, aux conseils de Coco, avant l'inauguration des nouveaux équipements à l'été 2005. Dénonciation du pilotage très approximatif du dossier piscine (voir le rapport de la Cour des Comptes) ; par dessus le marché la Cour des Comptes dit « les tarifs pratiqués rendent l'équipement peu accessible aux publics visés, qui disposent de moyens limités ».

Au conseil municipal du 25 septembre 2006, demande que la Ville joue son rôle d'insertion en embauchant des CAv et des CAE comme l'Etat (Borloo !) le lui demande. Il y a seulement 2 CAE actuellement, et aucun contrat d'avenir. Demande par ailleurs que la Ville fasse jouer la clause sociale dans les marchés publics qu'elle passe, notamment pour l'entretien des espaces verts.

à Les personnes âgées.

Mise en cause de l'absence de suivi de l'étude gérontologique terminée en mars 2000, au Conseil municipal et dans le journal municipal. Demande à ces occasions d'un comité de suivi de cette étude, mais aussi de la mise en place d'un CLIC, d'un médecin coordonateur pour les maisons de retraite, ainsi que d'un centre gérontologique dans celle qui est en projet.

Un début de CLIC a vu le jour en 2005, avec un médecin coordonateur.

à Les salariés.

Intervention de soutien et de conseil auprès des salariés lors des licenciements ADH.

Interventions, par communiqué et dans le journal municipal, en faveur les licenciés de SAMEDIA, des ouvriers et des employés en général.

à Les gens du voyage.

Appui de la municipalité, contre V. BESSE, pour la mise en place de l'aire d'accueil, notamment avec des sanitaires individualisés.

Accord pour l'acquisition de nouveaux terrains, pour une aire de grands passages et une aire enherbée. Accord pour prendre un gestionnaire.

Demande aux communes environnantes concernées (Mouchamps et Vendrennes ?) d'équiper leurs aires d'accueil respectives afin de permettre un hébergement court (48h) décent.

2005 : Demandes réitérées.

Bilan très positif du fonctionnement de l'aire d'accueil. La Ville des Herbiers fait figure de bon élève aux yeux du préfet et de l'ensemble des communes du département. Nous la soutenons totalement sur ce dossier. Seule ombre au tableau : le coût de 200 000 € pour la Coco ; et la perspective de voir la Ville modifier son organisation en demandant, par exemple, au prestataire (Le Relais) de diminuer son temps d'intervention. Quelle devra être alors notre position ?

2006 : Soutien du projet de gestion commune avec Chantonnay, puis à terme avec Pouzauges et Mortagne. Mais pas question d'en céder sur l'accompagnement social. Dénonciation du blocage par les maires concernés des projets d'aire d'attente (1 ou 2 nuits) à Mouchamps et Vendrennes (si ce n'est pas fait avant octobre 2006, fin des aides financières !). Soutien du projet d'aire de grand rassemblement, même si la ville n'y est pas tenue par le plan départemental.

2005 : Questionnement par rapport à la constitution d'une réserve foncière de la Ville près de l'intersection Les Epesses/Pouzauges pour empêcher les Gens du voyage d'acheter parcelle par parcelle. D'accord pour éviter le ghetto, mais la ville a-t-elle un projet pour ces demandes ?

2006 : soutien du lancement d'une procédure de concertation pour le choix d'un aménageur chargé d'une opération d'aménagement sur le secteur de la Girardière., afin de répondre notamment aux besoins de sédentarisation des gens du voyage. La Ville souhaite concéder la réalisation de cette opération à un aménageur public ou privé, appelé concessionnaire.

à Le logement

Demande de favoriser la mixité des générations dans les résidences en projet. En permettre l'accès aux personnes âgées grâce à la construction elle-même (label Grand axe) ainsi que grâce aux loyers pratiqués.

Soutien au projet de résidence sociale avec un réel projet social. Opposition à Albert dans le choix d'un prestataire beaucoup plus gestionnaire et peu social. Relance de ce projet qui semble passé aux oubliettes.Interventions en 2006 sur la nécessité d'un accompagnement dans les deux projets de résidence sociale (La Pellinière et le Grand Fief).

Demande d'aller vers l'hypothèse haute (25%) du PLU pour ce qui concerne l'habitat collectif, de proposer également plus de logements sociaux. Nous sommes en effet très éloignés des 20 % que la ville devrait proposer. Et à nouveau : où en est le projet de résidence sociale ? Soutien de la mise en place d'un PLH et de la prise de délégation de la gestion de l'habitat par la Coco.

2005 : C'est le point majeur qui nous opposent à Marcel ALBERT. Nouvelles interventions sur le besoin de logements sociaux lors du vote d'approbation du PLU, à l'occasion de commissions et débats sur les nouveaux lotissements (La Tibourgère, le Landreau …), ainsi que dans un article du journal municipal : 20 % de logements sociaux (gérés par du public) ; mixité de la population dans tous les quartiers ; résidence sociale ; plus de logements collectifs (non à la résidence Albert Deman !…). Il faut en effet tenir compte du fait que 40 % des foyers de la communauté gagnent moins de 750 € par mois ! Les HLM jouent-ils le jeu, ou choisissent-ils leurs locataires ?

2006 : vote du PLH, lequel soutient totalement ce que nous réclamons depuis des années sur 3 points principaux : un nombre de logements aidés beaucoup plus important est nécessaire au développement de la ville (23 %) ; il y a un déficit de ces logements dans les projets actuels de la municipalité ; il faut une mixité sociale plus importante dan les futurs lotissements comme en centre ville.

Dans le cadre de la loi Borloo portant sur l'Engagement National pour le Logement (ENL), vote d'une taxe forfaitaire sur les cessions à titre onéreux de terrains devenus constructibles, ainsi que d'un assujettissement de la taxe d'habitation des logements vacants depuis plus de 5 ans. Condition : « réserver » cet argent pour le logement social. Risque : inflation du prix des terrains ; il faut donc instituer des ZAC et des ZHT dans l'avenir afin de mieux maîtriser le foncier.

Accord pour la création de 17 logements sociaux à La Tibourgère, mais dénonciation de l'insuffisance (10 % de l'ensemble seulement).

à L'enfance.

La maison de la petite enfance. Soutien du projet de centralisation des services.

Vote du Contrat Educatif Local (La Métairie). 2005 : Vote de l'extension de la Maison de la Petite enfance (+ 5 postes). 2006 : vote de la reconduction du CEL à La Métairie. Soutien du Contrat local d'accompagnement à la scolarité (CLAS).

à La politique de prévention.

Soutien de la création, en opposition à V. BESSE, d'un poste d'assistant social au CCAS. Soutien à la création des postes d'animateurs-éducateurs au Service action jeunesse et des programmes d'animation.

2005 : Demande d'étendre les compétences du Petit Campus à la Grange d'Ardelay. Demande d'éducateurs face à la consommation de drogues (alcool, etc.) chez les jeunes.

2006 : Après les actes de violence, déclaration au conseil et article pour le journal municipal : Le Conseil Local de Sécurité et de Prévention de la Délinquance (CLSPD) est le pivot autour duquel doivent s'articuler les différentes réponses nécessaires : des maisons de quartier à terme dans chaque quartier ; des intervenants sociaux dans une instance de médiation familiale ; un partenariat avec les écoles ; intégration d'une clause de mieux disant social dans les marchés passés par la Ville ; développement des Travaux d'Intérêts Généraux ; un travail de médiation sur la réparation…

à La coopération internationale.

Accord aux soutiens des associations AJCAH et TEMBO. Vote de l'aide aux victimes du tsunami en Inde. Demande de pérennisation de ce type d'aides (Darfour, Cachemire, etc.)

Opposition, en conseil de Coco et dans le journal municipal, au pseudo-jumelage des industriels avec la ville chinoise de Feng-Hua. Opposition également au vote de la subvention pour le voyage d'industriels chinois ici.

à Les demandeurs d'asile.

Soutien à la création d'un Centre d'accueil des demandeurs d'asile (CADA) aux Herbiers.

 

3 LA DÉFENSE DE L'ENVIRONNEMENT.

 

à Le projet d'une « Ecolopole » ou de démarche pour le Développement durable

Dénonciation dans le comité de pilotage, en conseil de Coco et par communiqué, de l'hypocrisie d'Albert lorsqu'il donne soudain des leçons d'écologie alors qu'il conduit une politique productiviste (extensions d'élevage, le tout voiture…)

OK pour certains projets (énergie renouvelable dans les bâtiments publics, …) mais refus du cautionnement de l'agriculture productiviste en important ici une usine de traitement des effluents d'élevage.

2005 : Après lecture de l'ensemble du dossier du cabinet Arcade : soutien global au projet ; refus des pseudo-solutions (voitures électriques ; usine de traitement des effluents d'élevage) ; demande de mise en cohérence avec la politique de la ville des Herbiers ; refus de la mise en œuvre par le cabinet de Jean-Patrick TEYSSAIRE, personnage pour le moins équivoque. Sur ce dernier point, nous avons obtenu gain de cause puisque ce sont des personnes embauchées par la Coco qui vont conduire le projet sous la directive du comité de pilotage constitué d'élus. Démarrage officiel de la démarche « Ecolopole » lors d'un événementiel au printemps 2006. Soutien critique ?

2006 : Participation à la commission Développement durable. Vote de la chaufferie bois pour les 3 maisons de retraite et la cuisine centrale. Dénonciation du décalage entre le discours permanent du maire sur le développement durable et ses choix politiques : soutien à l'agriculture intensive, politique du tout-voiture, développement d'une économie autour du camion… Demande de promouvoir plutôt une économie à partir de la filière bois.

 

à L'aménagement du centre ville.

2006 : développer un centre ville accueillant (journal municipal d'avril).

Place des Droits de l'homme : Opposition en 2004 au projet, plus commercial qu'urbanistique. Pas de symbole fort (médiathèque, mairie…) indiquant que c'est la place de tous les Herbretais. Grande Maine pas mise en valeur.

2005 : Abstention seulement lors du vote du projet retenu en novembre 2004. En effet, celui-ci intègre la dimension citoyenne avec la maison commune et le parvis. Réserves cependant sur l'absence de médiathèque, la pauvre valorisation de la Grande Maine, l'absence de développement parallèle du centre ville actuel et l'absence de volonté de déménagement du Crédit agricole (lui faire des propositions sur la nouvelle place).

Demande de relogement des syndicats.

Pôle d'enseignement culturel : Dénonciation du risque que fait encourir à ses usagers le bâtiment de l'Ecole de musique depuis de nombreuses années. 2005 : Soutien à la création du Pôle sur la place des Droits de l'homme tout en dénonçant l'absence de médiathèque. Mais deux problèmes : faire participer les associations concernées à l'élaboration et le bâtiment n'est pas ouvert sur la place !

Le Familia : Demande de le réhabiliter. 2006 : Demande de réhabilitation au DOB en début d'année. En… septembre, vote de la réhabilitation de la salle Le Familia dans l'esprit d'une salle de quartier (200 places), afin de créer un lieu d'expression pour les associations.

Parking St Jacques : Ne pas en faire un terrain vague mais un endroit où il fait bon flâner (partie en rez-de-chaussée). Le relier aux rues piétonnes et à la place des Droits de l'Homme. 2006 : Demande d'accélérer sa réalisation (début des travaux prévue fin 2007…)

Projet immobilier rue Basse-des-Halles, le Clos St Pierre. Vote du projet. Dénonciation en 2005 de l'absence possible de mixité sociale étant donné les loyers prévus et de la dangerosité de la rue qui va descendre au ras de l'immeuble.

Inondations de la Grande Maine : Demande d'élargir la Grande Maine, en 2005, lors de l'aménagement du parking des Anciens Combattants d'Afrique du Nord afin d'éviter les inondations en amont. Demande de libérer le cours de la Grande Maine (Crédit Agricole et autres constructions qui la freinent) en faisant la coulée verte.

Marché St Pierre : Accord sur le projet mais demande que la ville le reprenne en main (commission de gestion et d'animation) pour le dynamiser.

Plan FISAC : Vote de la 2ème tranche. 2006 : Vote de la 3ème tranche du plan FISAC (parking St Jacques, parking des Anciens combattants, signalétique commerciale et artisanale, aide aux créateurs d'entreprise, etc.)

Maison des Communes : Accord sur le projet au Château Bousseau mais projet non prioritaire par rapport à la médiathèque et au pôle d'enseignement culturel. Souhait de la prévoir à terme sur la place principale pour donner un vrai cœur et une identité à la ville (voir plus haut).

Site Novestyle : Participation à la commission sur l'aménagement du quartier de la gare. Proposition qu'une partie du site s'oriente vers une vocation de parc-expo (vérifier la demande des entreprises herbretaises), qu'une autre soit destinée aux activités plus lucratives et qu'enfin soit réservé un espace pour des activités plus culturelles, par exemple un musée. Nous demandons également de saisir l'opportunité de ce grand espace pour y créer une maison des associations.

Accord pour y créer finalement 3 pôles : un parc des expositions ; un pôle d'animation associatif et culturel ; un pôle habitat-tertiaire. Demande insistante d'y prévoir une maison des associations et de faire de ce site un lieu de vie (l'inscrire dans un projet de restructuration urbaine avec, par conséquent, des espaces publics). Accord de principe pour l'installation d'un musée du vélo ancien, mais demande au préalable de garanties sur la viabilité du projet.

ZI à la Guerche : Opposition au développement entre le centre ville et Ardelay. 2006 : alerte (abstention) sur le même sujet à l'occasion d'une extension, entre une zone d'habitation et une future zone de loisirs (envisager un déménagement de la zone industrielle ?)

OPAH : Vote de l'opération programmée pour l'amélioration de l'habitat.

Plan lumière : Accord. Demande d'utilisation de lampes à faible consommation. 2006 : idem, mais scrupules. Ne faudrait-il pas s'y opposer afin de lutter contre une pollution visuelle de plus en plus importante. Quoi qu'il en soit, refuser l'éclairage toute la nuit.

Chaufferie à bois déchiqueté : Accord pour une pour les maisons de retraite et la cuisine centrale.

Lotissement de La Pellinière : Accord pour le projet. Mais vigilance par rapport à la mixité sociale.

Parking du club de foot : Accord pour le à condition qu'il soit enherbé et paysagé.

Norme HQE : Toujours au débat d'orientations budgétaires de 2006 : la norme doit être appliquée à tous les projets de lotissement.

Diagnostic énergétique : les bâtiments publics doivent en faire l'objet.

Plan d'évacuation : Interpellation de la municipalité après l'incendie de Ouest-Alu : y en a-t-il un de la ville au cas où Jeanneau brûlerait ? Il faut réactualiser les risques potentiels de Jeanneau et des autres usines avec les industriels et les services techniques ; il faut revoir aussi les moyens d'information de la population en cas de sinistre grave.

Rues d'Ardelay et du Grand Fief : Opposition au projet d'aménagement des: nous sommes convaincus qu'un sens unique s'impose en combinant avec l'avenue de la Gare.

 

à L'aménagement de la campagne.

Refus du déclassement de certains chemins de campagne (Cossonnière…). Obtention du retrait de la délibération.

Refus des multiples demandes d'extensions d'élevage. Une étude pour le PLU confirme la pollution des puits et des nappes phréatiques jusqu'à 30 mètres de profondeur. Idem en 2005, mais ces demandes ce sont arrêtées depuis plusieurs mois.

Dénonciation de l'arrachage des haies alors qu'on subventionne la replantation.

Demande de l'utilisation du bois déchiqueté pour le chauffage des nouveaux établissements publics, produit de l'élagage des arbres et des haies, dont les agriculteurs ne savent que faire.

Demande de l'utilisation de techniques non polluantes par les services techniques de la mairie pour le désherbage. C'est effectif.

Demande de l'utilisation de produits bio dans les cantines scolaires. Nous avons obtenu gain de cause sur ce point, notamment grâce à la démarche « Ecolopole ».

Soutien aux demandes de suppression des panneaux 4x3 et d'aires de repos aux entrées de la ville.

Création de jardins ouvriers  (La Frapperie ?…) ? 2006 : demande que le Conseil des Sages s'en occupe.

 

à Le transport.

Demande de sécuriser certaines routes.

Demandes de pistes cyclables (rue du Brandon, avenue des Sables…). Demande de relier les nouveaux quartiers au centre ville (nous avons été entendus pour La Roche-Thémer). Demande de parcs à vélo ! ! !

Accord sur le nouveau plan de circulation, le circuit Cœur de ville.

Dénonciation de la politique du « tout voiture » et demande d'une étude sur la place de la voiture en ville. Envisager des transports en commun pour relier les nouveaux quartiers au centre ville (La Tibourgère, …) ; créer des parkings extérieurs au centre ville ?…

Envisager à terme le ferroutage pour les camions qui vont venir de plus en plus nombreux ici (la ligne Cholet - Les Herbiers est toujours exploitable). Demande faite dans le cadre du comité de suivi du dossier Ecolopole.

Refus du projet de pôle logistique aux Herbiers (étude TEMA), qui donnerait une orientation économique contradictoire avec celle donnée par l'Ecolopole. Inutile de développer une économie occasionnant beaucoup de nuisances. Qui plus est, le cabinet TEMA est juge et partie.

Demande que la Ville acquière des véhicules à énergie moins polluante lors du renouvellement de son parc automobile. Refus des voitures électriques.

2006 : Nouveaux questionnements en commission sur la place de la voiture en ville (voir le travail des étudiants qui rejoint souvent nos positions). Nouvelle demande d'étudier les possibilités de transport en commun.

Transport scolaire : demande d'un audit externe à la Ville et au prestataire suite au déficit d'exploitation de plus en plus important.

Opposition au projet de nouveau franchissement de la Loire au titre que ce vote cautionnerait le projet d'aéroport à Notre-Dame des Landes. Le projet date de 50 ans et la population a quadruplé depuis.

à Les déchets.

Opposition à l'enfouissement massif et à l'incinérateur.

Défense des options de diminution des déchets à la source, en cherchant à responsabiliser les personnes. Nous demandons, par exemple, de manière insistante une étude sur la mise en place d'une redevance en fonction du poids de déchets produits, au lieu d'une taxe calculée sur la valeur locative. Nous ne sommes pas entendus. Nous critiquons, de ce fait, le choix du système Molok. Idem en 2005. Idem en 2006.

Défense du tri sélectif. Sur ce plan, l'abandon du ramassage au porte à porte du papier et du verre est un recul de la Coco (transfert au centre de tri de St Prouant).

Demande de la promotion du compostage individuel et collectif. Dans ce domaine, nous avons aussi été très insistants (commissions, Conseil de Coco, visite obtenue à St Hilaire-de-Bouaine, conférence de Dany Dietmann suivie par beaucoup d'élus…). Les choses semblent progresser grâce à l'impulsion récente donnée par Trivalis. A suivre.

Demande d'un CET par canton, donc demande d'un CET au sein de notre Communauté de communes, d'une taille en rapport avec notre production de déchets. Opposition au principe d'un seul CET sur le bassin numéro 7.

Accord pour la construction de déchetteries. Demande d'une recyclerie.

2005 : Le nouveau plan départemental du Conseil général  pour le traitement des déchets ménagers doit paraître en fin d'année et sera soumis à une enquête publique. L'absence d'incinérateur est partiellement une victoire. Cependant, les usines de tri mécano-biologique (nouveauté) risquent de mettre en péril les efforts de tri et de compostage en amont, et de déresponsabiliser les citoyens. Cela va dans le mauvais sens, à l'opposé d'une réduction des déchets à la source.

Par ailleurs, nous devons nous féliciter des avancées – jusqu'ici – de la Coco du Pays des Herbiers dans le compostage individuel, suite à notre demande insistante depuis plusieurs années ! Notre demande de plates-formes de compostage collectif qui ne provoquait déjà pas l'enthousiasme des maires risque d'être définitivement bloquée par le nouveau plan départemental. Il s'agit là aussi d'un domaine où nous sommes sur une ligne très différente de celle de Marcel Albert.

2006 : Opposition à l'achat d'un terrain à la Basse Martinière en vue d'y construire un CET.

Demande que la Ville incite les entreprises à s'équiper en station d'assainissement ; leur faire savoir qu'un jour elle pourrait être amenée à les refuser du fait de son expansion (les collectivités ne sont pas obligées de les prendre en charge). Dénonciation : nous n'avons pas d'infos sur les compensations financières demandées aux entreprises.

Soutien à la partie du plan départemental qui prévoit le compostage individuel et collectif, ainsi que l'incitation à produire moins de déchets (paiement au poids ou au volume) et dénonciation de la politique de notre Coco en la matière. Soutien à son projet de recyclerie. Dénonciation de l'absence de projet de compostage collectif.

à La coulée verte.

Des terrains continuent d'être achetés par la Ville qui, depuis quelques années, a retenu notre proposition. Cependant les choses avancent jusqu'ici assez lentement. Le travail sur le PLU est l'occasion pour nous de revenir sur ce projet en demandant de l'inscrire et de terminer sa mise en place rapidement.

2005 : Demande de faire avancer le projet à l'occasion de l'adoption du PLU. Aller jusqu'à des expropriations s'il le faut. Le maire commence à le reconnaître au Conseil, mais il est très clair qu'il y va à reculons… Continuer notre pression.

2006 : Demande en début d'année d'une politique très volontariste. Septembre 2006… :Vote d'une assistance à la maîtrise d'ouvrage pour l'étude d'une coulée verte. Il faut un projet global pour envisager si nécessaire une Déclaration d'utilité publique.

à L'assainissement collectif.

Demande d'une étude neutre sur l'état du réseau. La CEO nous menant depuis plusieurs année en bateau… ! Nous venons d'avoir gain de cause. Cette étude va se mettre en place ainsi qu'en parallèle une commission municipale. Le maire a été d'autant plus persuadé de son bien-fondé que le contrat d'affermage se termine dans un an (fin 2004) et… qu'avec l'application de la nouvelle loi sur l'eau il va être personnellement responsable à partir de 2006.

2005 : Dénonciation des profits scandaleux de la CEO (CGE), … et de la mauvaise gestion lors des différents mandats municipaux ( ?).

Vote du choix de gestion déléguée à la société SOAF Environnement (future Nantaise des eaux) car les tarifs sont moins élevés qu'une reprise en régie (la facture a baissé en moyenne de 11 %) et le nouveau contrat est verrouillé (durée de 12 ans au lieu de 30 ans, révisable au bout de 5 ans et selon certaines autres clés, …). Ceci offrant une maîtrise publique de la gestion de l'assainissement.

Intervention à la Vincère contre la pollution d'un puits ; il est apparu à cette occasion que beaucoup d'entreprises continuent à bénéficier du réseau collectif pour des évacuations en quantités… industrielles. Demande qu'elles assument leur propre assainissement.

Demande d'une aide financière de la Ville pour que les particuliers mettent leur équipement aux normes.

à L'assainissement individuel.

2005 : Demande de systèmes de lagunage dans les fermes. Il semblerait que nous soyons entendus… (s'appuyer sur l'exemple de Mouchamps qui avance vite dans ce domaine)

2006 : Nous continuons à nous battre pour le système de lagunage. Vote de l'aide au raccordement des particuliers au réseau après avoir dénoncé les mensonges de la CEO qui, à l'époque, prétendait qu'il n'y avait que 3 maisons non raccordées ! (il y en aurait plutôt 300 en ville)

 

à L'approvisionnement en eau « potable ».

Dénonciation du prix de l'eau, l'un des plus élevés de France, du fait de la politique du Conseil général favorisant l'agriculture productiviste (politique du « tout barrage », dégressivité des coûts forte pour les agriculteurs et les industriels, part abonnement (40 m3) défavorisant les petits consommateurs…) Voir article du journal municipal.

2005 : Dénonciation de la mauvaise qualité de l'eau provenant de Rochereau et de la Bultière, notamment pour les nitrates et les matières organiques. Ces eaux doivent alors être délayées avec l'eau du bassin de la Loire. Demande de compte rendu sur le PMPOA2 devant conduire les agriculteurs à moins polluer (formations, épandage d'engrais à certaines périodes, enherbage des bords de rivière, couverture des fosses à lisier, etc.)

Abstention pour l'approbation par les communes d'une charte de bonne conduite environnementale pour protéger la qualité des eaux brutes du bassin versant : en contradiction avec la politique agricole conduite.

à P.L.U.

Beaucoup de thèmes sont abordés dans le travail sur le PLU. Sur le plan environnemental, nous pouvons ajouter à ce qui a déjà été dit, notre souci de protéger les collines à l'est des Herbiers, entre le Mont des Alouettes et la route des Epesses, ainsi que le Bois-Vert ; et notre souci d'un réseau routier provoquant le moins de gêne possible (ex : les Peux, avec lettres au Préfet, à la DDE, Conseil général…) ; enfin notre souci, de manière générale, de freiner l'extension de la ville au détriment de la campagne en densifiant par exemple le centre-ville.

2005 : Nous nous sommes abstenus lors du vote d'approbation définitive du PLU, au conseil municipal du 26 septembre 2005, principalement pour les motifs suivants : le déficit de logements sociaux, la diminution de notre espace rural et les préoccupations liées à l'environnement.

 

4 LA MAÎTRISE DE LA GESTION PUBLIQUE.

à L'assainissement.

Envisager la reprise en gestion directe. Obtention d'une commission municipale et d'une étude faite par un cabinet indépendant de la CEO à l'occasion de la fin du contrat d'affermage avec celle-ci fin 2004.

2005 : Accord finalement pour une délégation étant donné les tarifs très avantageux, le fait qu'il ne s'agit pas d'une major (Générale des Eaux, …), et que le nouveau contrat est très cadré. Il y a a priori désormais une maîtrise publique de la gestion (voir la partie Environnement ci-dessus.).

à Ecole de musique.

Défense de la municipalisation. 2005 : Celle-ci est sur le point d'aboutir.

 

 

à Emplois municipaux.

Nous continuons à soutenir la création de postes (la Ville a moins de salariés que beaucoup d'autres villes de même strate) dans tous les domaines : social, communication, police (…?), etc. 2006 : demande de CAE et de CAv.

 

5 L'OPPOSITION AU "SYSTEME DE VILLIERS".

 

Opposition à la mise en coupe réglée de la Vendée, notamment de notre canton, par
De Villiers.

2006 : article dénonçant les propos racistes de P. de Villiers, sur les musulmans, pour lancer sa campagne des présidentielles.

à Le Vendéopole (présidente, V. BESSE).

Opposition à la création du Vendéopole et demande d'une gestion communautaire de cette zone d'activités. Opposition à la gestion par la SODEV (Bruno Retailleau). Critique vigoureuse des maires du canton quand ils ont lâché M. ALBERT sur cette question. Critique de V. BESSE qui s'active pour agrandir encore le Vendéopole afin de contrôler encore davantage le développement de la ville. Vote contre diverses décisions visant à le mettre en place.

à La SEM ORYON.

Soutien de la prise de participations de la Ville dans cette société d'économie mixte présidée par le maire de La Roche-sur-Yon. Cela permettra de desserrer un peu l'étau de la SODEV dans les nombreux aménagements à venir (La Tibourgère, par exemple). Opposition à la liste Besse sur ce sujet.

Soutien à la proposition de confier le projet du Landreau à ORYON. Dénonciation de l'hypocrisie de la liste BESSE qui n'a rien à redire quand il s'agit de VENDEE EXPANSION laquelle fait pourtant de l'entrisme dans les communes de Vendée, à commencer par les Vendéopole.

 

à La rocade du bocage et l'échangeur au Puy-du-Fou.

Vive critique de ces projets du Conseil général qui défavorisent la ville des Herbiers, laquelle a vocation, dans une perspective de pays, à devenir « ville centre » et « carrefour » du bocage. On y voit clairement les intérêts politiciens de De Villiers et de Retailleau.

à Le pays et le conseil de développement.

2005 : Forte dénonciation de la méthode villiériste pour constituer son conseil de développement, pour définir le périmètre du Pays qui lui convient et pour réussir à ne pas citer Les Herbiers comme ville centre. (voir plus haut le Pays, sur le point Démocratie participative).

à Le plan départemental des déchets.

Manipulations du Conseil général que nous n'avons pas encore eu l'occasion de dénoncer.

à Les subventions.

2005 : Dénonciation du refus du Conseil général de subventionner plusieurs équipements aux Herbiers (la cuisine centrale dernièrement). Marcel Albert vient d'annoncer qu'il était en train de faire chiffrer le manque à gagner dû aux discriminations du Conseil général.

à La piste cyclable du Haut-Bocage.

2005 : Dénonciation de la pub – et de son coût – que se fait le Conseil général tout le long des routes, plutôt que d'aménager réellement des pistes. Encore une grosse opération communication.

à Le club de foot.

Dénonciation du changement de nom au profit du Département, alors que la Ville y a fait un investissement comme jamais cette année (plus d'1 million d'euros !).

 

L'ÉPANOUISSEMENT DES PERSONNES.

 

La culture vivante, l'ouverture à la différence, l'ouverture sur le monde… L'opposition à la culture "sous cloche".

 

à La politique culturelle.

Soutien à la programmation d'Herbauges. Demande de plus de moyens pour les associations.

Refus de la construction immédiate de la Maison des communes. D'accord pour son emplacement autour du Château Bousseau, mais priorité au Pôle d'enseignement culturel/médiathèque (urgence pour l'école de musique).

Demande de programmer un office socio-culturel, de la même manière qu'il y a un office municipal des sports.

Vote du projet de cybercentre. Demande de liaisons avec les petites communes.

2005 : Soutien du projet de Pôle d'enseignement culturel.

2006 : Vote de la réhabilitation de la salle Le Familia dans l'esprit d'une salle de quartier (200 places), afin de créer un lieu d'expression pour les associations. Nouvelle demande d'une médiathèque.

à La politique architecturale.

Soutien des projets innovants (Prés de Victor, Landreau, Tibourgère) et de la semaine de promotion de l'architecture contemporaine.

 

à La politique sportive.

Elle a toujours été très favorisée aux Herbiers, elle se passe donc de notre soutien actif… Sauf lorsqu'il s'agit de demander d'ouvrir les salles de sport aux jeunes lorsqu'elles ne servent pas pendant les vacances scolaires.

Accord pour le projet de base de loisirs à Longuenay et les travaux dans les salles de sports.

Interrogations sur le projet d'une salle multifonctions (spectacles, sports (dojo)…). Priorité encore une fois à la médiathèque et au pôle d'enseignement culturel (et au projet de parc d'exposition sur le site Novestyle ?).

2005 : Opposition dans la commission Sports au grand parking pour les spectateurs du foot, au-dessus du bois du Landreau. Concession si paysagement de celui-ci ?

2006 : Vote des très lourds investissements sur le club de foot, mais dénonciation du changement de nom de celui-ci au profit du département.

à Le comité de jumelage.

Soutien du comité.

à Le conflit des intermittents du spectacle.

Soutien aux intermittents par une demande de vote d'une motion au conseil municipal. Dénonciation du refus du maire.

 

L'EMPLOÍ

à PLU.

Défense de l'habitat collectif et de la préservation de l'espace agricole, du logement social, de la mixité sociale, du partage de la croissance avec les autres communes du canton, de la coulée verte, d'une nouvelle politique des déplacements dans la ville, de la préservation du cadre de vie, d'une médiathèque en centre-ville…

à Soi-disant jumelage avec Feng Hua.

Déplacement en Chine avec les chefs d'entreprise. Entreprises chinoises ne respectant pas les règles les plus élémentaires des droits de l'Homme. Confusion entre les intérêts des entreprises herbretaises et les intérêts publics (financement public de l'opération).

2005 : Refus de voter une subvention pour accueillir des industriels chinois. (voir plus haut)

à Opposition aux phénomènes de concentration (commerciale, industrielle, touristique…)

Que ce soit l'autoroute (nous avons défendu l'option d'une 2x2 voies qui irrigue mieux le pays qu'elle traverse), les projets Marque Avenue ou Freeport. Promotion d'un développement diffus, bien équilibré sur tout le territoire, notamment au travers d'une réflexion de toutes les forces vives du Nord-Est Vendée (charte de pays).

2006 : Accord conditionné sur la création d'une vingtaine de magasins d'usine près de chez Jeanneau. Oui du fait de l'incidence minime par rapport à la Séguinière sur le phénomène de concentration, du fait de l'apport en tourisme commercial pour le centre ville, ainsi qu'à cause de l'évolution des pratiques commerciales. Mais pas question d'avoir une zone d'entrepôts fermées la nuit, avec des chiens et des vigiles. Attention également au type d'emplois qu'on va y trouver ainsi qu'aux allées et venues de camions.

à Zones commerciales.

Accord pour le projet de la Tibourgère car il faut accompagner le développement de la Ville. Mais craintes du fait du coût plus élevé que prévu, ce qui entraîne une mise en option de la coulée verte et des pistes cyclables. Nous craignons donc aussi une augmentation des loyers, ce qui écarterait les personnes à faible revenu. Dénonciation du faible taux (10 %) de logements sociaux. Voir aussi le franchissement de la rocade, la suppression de la Simonière, et faire un vrai lieu de vie de nouveau quartier (équipements p



21/06/2007
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